MaskSinger 4 : "En roue libre", "un sketch à elle toute seule", "exceptionnelle" les internautes ne tarissent pas d'éloges sur Chantal Ladesou Le 23/08/2022 à 23:27 par AgnÚs FREMIOT
Les Ă©lĂšves chantent l'hymne emblĂ©matique "Je ne suis pas un hĂ©ros" de Daniel Balavoine qui a marquĂ© cette saison 5 de la Star Academy. L’aventure commence tout juste pour les candidats qui s’apprĂȘtent Ă  passer des semaines de coaching intensif ! Revivez ce moment de nostalgie... Retrouvez bientĂŽt la nouvelle saison de Star Academy sur TF1.
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REPORTAGE AprĂšs des dĂ©buts poussifs, la vaccination contre le Monkeypox s’accĂ©lĂšre. À l’hĂŽpital Saint-Antoine, le service infectiologie se sent bien seul.

l'essentiel La rĂ©ussite pour Salam, le documentaire de Diam's a Ă©tĂ© impressionnante. Le film sur la rappeuse a Ă©tĂ© diffusĂ© au cinĂ©ma pendant deux jours et a totalisĂ© 90 000 entrĂ©es. Ce portrait cinĂ©matographique revient sur la vie de la star des annĂ©es 2000-20010 aprĂšs sa disparition de la scĂšne et des mĂ©dias. Diam's a fait son grand retour avec un documentaire aprĂšs avoir disparu du monde mĂ©diatique pendant plusieurs annĂ©es. Salam, un film produit par Brut a fait un carton au cinĂ©ma avec prĂšs de 90 000 personnes dans les salles obscures en seulement deux jours. Rien que vendredi 1er juillet, il avait totalisĂ© 50 000 entrĂ©es, dĂ©passant Top Gun Maverick au classement des films les plus visionnĂ©s au cinĂ©ma du jour Le film revient sur l'histoire de la rapeuse aprĂšs la fulgurante ascension qu'elle a vĂ©cue dans les annĂ©es 2000. La chanteuse de "La Boulette" explique ses difficultĂ©s face Ă  la notoriĂ©tĂ©, sa dĂ©pression ainsi que sa conversion Ă  l'islam qui a l'Ă©poque a marquĂ© la France entiĂšre. DiffusĂ© Ă  l'automne sur BrutX Produit par Brut le documentaire a d'abord Ă©tĂ© montrĂ© en grande pompe lors du dernier Festival de Cannes avant de sortir au cinĂ©ma, mais pour deux jours seulement. Pour ceux qui ne l'ont pas encore vu, il faudra attendre l'automne oĂč il sera diffusĂ© sur la plateforme BrutX. Diam's s'est adressĂ© Ă  ses fans lundi 4 juillet sur Instagram, le temps de les remercier et d'annoncer son dĂ©part, une nouvelle fois, des rĂ©seaux sociaux. "J’aurais aimĂ© trouver les mots justes pour vous dire ce que je ressens mais je pense que je ne les trouverai jamais. Vous ne pouvez pas savoir combien j’ai pleurĂ©, combien mon cƓur a Ă©tĂ© touchĂ©", a-t-elle Ă©crit. “C’est si beau ce qu’il s’est passĂ© avec Salam
 si beau de constater que l’on peut encore partager de si beaux moments et de si profonds sujets, a dĂ©clarĂ© l'ancienne rappeuse. Je me coupe des rĂ©seaux sociaux mais je ne me coupe pas de vous... J’ai laissĂ© un lien en bio oĂč vous pouvez m’écrire”, conclu-t-elle.

Documentaireen Streaming > docu > Je ne suis pas un singe documentaire. docu Je ne suis pas un singe documentaire. VidĂ©o : Je ne suis pas un singe documentaire. Afrique Samuel Eto’o Ă©levĂ© au titre de Docteur Honoris Causa Un doctorat honorifique est une marque de distinction offerte par une universitĂ© ou une Ă©cole Ă  une personne qui a fait sa 6 January 2019 29 membres Le racisme dans le football. Tous racontent, Ă  leur maniĂšre, ce qu’ils ont vĂ©cu, et confessent leur ressenti. Olivier Dacourt nous emmĂšne Ă©galement Ă  la rencontre d’entraĂźneurs, d’arbitres et de dirigeants ceux qui, sur le terrain ou en dehors, ont le pouvoir de faire changer les choses. Il se confronte enfin Ă  un supporter qui justifie le fait d’insulter des joueurs en raison de la couleur de leur peau. Options Fiche TheMovieDB Unpremier cas de transmission de la variole du singe de l'ĂȘtre humain au chien a Ă©tĂ© rapportĂ© la semaine derniĂšre dans le journal mĂ©dical The Lancet. Il s'agit de deux hommes contaminĂ©s
DĂ©masquĂ© lors du premier Ă©pisode de Mask Singer saison 4, ce mardi 23 aoĂ»t sur TF1, FrĂ©dĂ©ric Diefenthal revient pour TĂ©lĂ© Star sur son aventure sous le masque du pain d' Star Pourquoi avez-vous choisi de participer Ă  l'Ă©mission ?FrĂ©dĂ©ric Diefenthal J'avais envie de m'amuser un petit peu, de voir ce que c'Ă©tait. De temps en temps, il faut savoir tenter, jouer le jeu. Je me suis dit que ce serait con de ne pas le faire et c'Ă©tait maintenant ou jamais. Dans 10 ans, je ne sais pas si j'aurais pu tenir aussi longtemps dans le costume rire. Il faisait trĂšs chaud lĂ -dedans !Vos proches ont-ils Ă©tĂ© surpris de vous voir dans une Ă©mission comme Mask Singer ?Beaucoup, d'autant que certaines personnes ont regardĂ© sans savoir que j'Ă©tais dedans. Elles ont Ă©tĂ© agrĂ©ablement surprises. Il faut dire que je ne suis pas un client rĂ©gulier d'Ă©missions de tĂ©lĂ©vision ou de shows de ce avez rĂ©vĂ©lĂ© ĂȘtre claustrophobe. N'aviez-vous pas peur que cette phobie vous pose problĂšme ?Je ne dirais pas que je suis claustrophobe, juste que je n'aime pas ĂȘtre enfermĂ©. En fait, je ne me suis pas rendu compte avant que ça pouvait poser problĂšme. Je l'ai dĂ©couvert en essayant le costume. Ils m'ont mis les pieds, puis le corps, et ça allait, mais au moment oĂč ils m'ont mis la tĂȘte, je me suis dit 'Oh merde' rire. J'ai eu besoin d'un petit temps d'adaptation mais ça s'est vous cachiez sous le pain d'Ă©pices. Aviez-vous choisi ce costume ?On m'a fait plusieurs propositions, mais oui, mon choix s'est rapidement portĂ© sur le pain d'Ă©pices. C'est dĂ©calĂ©, enfantin, gourmand et trĂšs simple en mĂȘme temps. Ça me souvenir gardez-vous de cette aventure ?J'ai adorĂ© dĂ©couvrir les coulisses du show. C'est passionnant pour quelqu'un comme moi, dont ce n'est pas le mĂ©tier. Je suis habituĂ© aux tournages, mais sur une Ă©mission comme ça, il y a toute une machinerie derriĂšre. C'est incroyable. Et puis le fait de devoir cacher mon identitĂ© en coulisses, ça donnait Ă  l'aventure un petit cĂŽtĂ© film d'espionage ! rireJeff Panacloc n'a pas mis longtemps Ă  vous dĂ©masquer. Pensiez-vous que ce serait si rapide ?Je n'y avais pas pensĂ© avant l'Ă©mission, mais quand j'ai vu que Jeff Panacloc prononçait mon nom si vite, je n'ai pas Ă©tĂ© surpris. Je me suis dit que c'Ă©tait Ă©vident. Il a une oreille trĂšs vous Ă©tiez dĂ©jĂ  croisĂ©s dans la vie ?Non, pas du tout. On se connait Ă  travers nos Ɠuvres respectives. D'ailleurs, je suis trĂšs admirateur de Jeff. C'est un jeune homme trĂšs talentueux et ça me fait grand plaisir qu'il ait vu mes déçu de ne pas ĂȘtre allĂ© plus loin dans l'aventure ?Ça m'aurait amusĂ© de jouer le jeu plus longtemps, mais je suis dĂ©jĂ  trĂšs satisfait du moment que j'ai vĂ©cu. C'Ă©tait un moment trĂšs fort, trĂšs intense. Le tournage avec le public, les rĂ©pĂ©titions, c'est assez intense, au point que j'en avais mĂȘme complĂštement oubliĂ© la compĂ©tition. Donc peut-ĂȘtre qu'il y a une petite frustration par rapport aux autres chansons que j'avais prĂ©parĂ©es, mais aucune dĂ©ception. J'ai pris le parlant de chanson, vous avez choisi d'interprĂ©ter "Ça plane pour moi" de Plastic Bertrand. Pourquoi ce titre ?C'est un titre intemporel, dansant, toujours moderne. Tout le monde la connaĂźt, l'a en tĂȘte. MĂȘme si elle est sortie il y a longtemps, elle est oujours dans l'Ăšre du temps. AprĂšs tout, les annĂ©es 1970 et 1980 sont toujours lĂ , il n'y a qu'Ă  voir ce qui se passe avec Stranger Things et la chanson de Kate Bush. C'est hallucinant. Et puis j'adore cette chanson, tout simplement ! Inscrivez-vous Ă  la Newsletter de pour recevoir gratuitement les derniĂšres actualitĂ©s © CHRISTOPHE CHEVALIN - TF1 2/12 - FrĂ©dĂ©ric Diefhental Un peu claustrophobe, FrĂ©dĂ©ric Diefhental a eu du mal Ă  s'habituer au costume de pain d'Ă©pices. © TF1 3/12 - FrĂ©dĂ©ric Diefhental FrĂ©dĂ©ric Diefhental a Ă©tĂ© dĂ©masquĂ© ! © TF1 4/12 - FrĂ©dĂ©ric Diefhental FrĂ©dĂ©ric Diefhental "J'avais envie de m'amuser un petit peu, de voir ce que c'Ă©tait. De temps en temps, il faut savoir tenter, jouer le jeu. " © CHRISTOPHE CHEVALIN - TF1 5/12 - FrĂ©dĂ©ric Diefhental Sur le plateau, FrĂ©dĂ©ric Diefhental a interprĂ©tĂ© "Ça plane pour moi" de Plastic Bertrand. © CHRISTOPHE CHEVALIN - TF1 6/12 - FrĂ©dĂ©ric Diefhental FrĂ©dĂ©ric Diefhental "Mon choix s'est rapidement portĂ© sur le pain d'Ă©pices. C'est dĂ©calĂ©, enfantin, gourmand et trĂšs simple, en mĂȘme temps. Ça me plaĂźt." © CHRISTOPHE CHEVALIN - TF1 7/12 - FrĂ©dĂ©ric Diefhental FrĂ©dĂ©ric Diefhental sur le plateau de "Mask Singer". © CHRISTOPHE CHEVALIN - TF1 8/12 - FrĂ©dĂ©ric Diefhental "Mes proches ont Ă©tĂ© agrĂ©ablement surpris. Il faut dire que je ne suis pas un client rĂ©gulier d'Ă©missions de tĂ©lĂ©vision ou de shows de ce genre." © CHRISTOPHE CHEVALIN - TF1 9/12 - Mask Singer FrĂ©dĂ©ric Diefhental a Ă©tĂ© dĂ©masquĂ© lors du premier Ă©pisode de Mask Singer. © TF1 10/12 - Jeff Panacloc FrĂ©dĂ©ric Diefhental a Ă©tĂ© dĂ©masquĂ© par Jeff Panacloc. © TF1 11/12 - Mask Singer Mask Singer © TF1 12/12 - FrĂ©dĂ©ric Diefhental FrĂ©dĂ©ric Diefhental se trouvait sous le costume du pain d'Ă©pices.
Documentaired’Olivier Dacourt et Marc Sauvourel (2018). 1h30. (Disponible en replay sur www.mycanal.fr)
Documentaire sport de 1h30min de 2018A travers des interviews de stars du football, Olivier Dacourt évoque le racisme que subissent réguliÚrement certains joueurs sur le Je ne suis pas un singeSynopsisLes stades sont réguliÚrement le théùtre d'actes racistes, dont découlent parfois des gestes marquants, voire choquants, à l'image de la la banane ramassée, puis mangée en plein match, par Daniel Alves, à Villarreal. Pour comprendre comment les joueurs vivent ces moments, Olivier Dacourt fait témoigner de grandes stars, comme Samuel Eto'o, Mario Balotelli, Patrick Vieira, ou encore Samuel Umtiti. Tous racontent, à leur maniÚre, ce qu'ils ont vécu et ressenti. Olivier Dacourt part également à la rencontre d'entraßneurs, d'arbitres et de dirigeants de clubs, ceux qui, sur le terrain ou en dehors, ont le pouvoir de faire évoluer les choses. Il se confronte notamment à un supporter, qui justifie le fait d'insulter des joueurs par la couleur de leur peau.
MartinSourzac : « Il ne faut surtout pas banaliser la défaite. On est Nancy, on a un statut à assumer dans ce championnat de National. » Photo ER /Cédric JACQUOT On est Nancy, on a un statut
Il a marquĂ© la musique mauricienne avec ses morceaux Ă  succĂšs comme Anita my love ou Kari poson. Mario Armel a fĂȘtĂ© ses 75 ans en juin dernier. MĂȘme si les cheveux sont de plus en plus grisonnants, il a gardĂ© la mĂȘme verve. Il s’apprĂȘte Ă  marquer ses 60 ans de carriĂšre avec un album, oĂč il chante en duo avec des jeunes et fort probablement, en prime un grand concert. L’occasion pour lui de revenir sur sa carriĂšre qui l’a emmenĂ© jusqu’en Afrique du Sud, en pleine pĂ©riode de l’apartheid. - PublicitĂ© - Vous venez de cĂ©lĂ©brer vos 75 ans et vous fĂȘtez bientĂŽt vos 60 ans de carriĂšre. Quel est votre regard sur ce parcours ? J’ai dĂ©butĂ© ma carriĂšre Ă  15 ans. A l’ñge oĂč d’autres enfants de mon Ăąge sont toujours Ă  l’école, moi je suis montĂ© sur scĂšne pour ne plus jamais la quitter. Je dois dire que la chanson n’a pas toujours Ă©tĂ© mon gagne-pain. J’ai travaillĂ© comme typographe dans plusieurs imprimeries, avant de finalement me lancer Ă  plein temps dans la musique. Ce choix Ă©tait Ă©vident car je viens d’une famille de musiciens. Mon pĂšre faisauit partie de la Police Band. Ma maman Ă©tait pianiste. Ma grande sƓur chanteuse. Mon grand-pĂšre maternel Ă©tait lui, professeur de musique. Donc, je leur ai emboĂźtĂ© le pas, tout naturellement. Je suis nĂ© Ă  la rue CondĂ© Ă  Port-Louis. Plus tard, nous avons bougĂ© Ă  l’impasse Labourdonnais et j’avais comme voisin un certain M. Mardemootoo. Il avait un orchestre et faisait de la musique avec mon pĂšre. Il m’a appris Ă  jouer de la guitare Ă  la dure. Mon premier groupe s’appelait Universal Band, ensuite il y a eu Traveller’s Band. A l’époque, je ne chantais pas encore le sĂ©ga. Je faisais de la variĂ©tĂ© et on me surnommait le Mike Brant mauricien. Je venais de rentrer de Madagascar et j’interprĂ©tais Laisse-moi t’aimer, qu’on n’écoutait pas encore Ă  Maurice. Et puis, j’avais toujours mes longs cheveux.. Dans les annĂ©es 60, j’ai intĂ©grĂ© les Night Birds et c’est lĂ  que j’ai commencĂ© Ă  travailler dans le circuit des hĂŽtels. Ensuite, j’ai rejoint le Hot Club de Rose-Hill du regrettĂ© Baby SavripĂšne. A cette Ă©poque, il y avait une grande rivalitĂ© entre les habitants de Rose-Hill, Beau-Bassin et Port-Louis. Mes amis et moi n’étions pas trop contents du nom du groupe Ă©tant donnĂ© que nous venions de Port-Louis. Nous en avons donc parlĂ© Ă  Baby qui a finalement tranchĂ© pour renommer le groupe Hot Club tout court. Il y a eu aussi les Night Birds. Ce groupe animair rĂ©guliĂšrement les mariages et les fancy-fairs. C’est avec les Hot Sounds of Mauritius que ma carriĂšre allait toutefois prendre une autre tournure. Vous avez effectivement dĂ©crochĂ© un contrat pour travailler en Afrique du Sud. Comment cela s’est passĂ© ? Dans les annĂ©es 70 je jouais dans les hĂŽtels. A l’époque, il n’y avait pas beaucoup de compĂ©tition dans ce secteur. C’était Baby SavripĂšne qui avait le contrat avec le Mauritius Hotel Group. On jouait cinq jours par semaine pour un salaire mensuel de Rs 315. Un beau jour, quelqu’un m’a approchĂ©, pour me demander si je n’étais pas intĂ©ressĂ© pour me produire Ă  l’étranger. Nous avons bien sĂ»r sautĂ© sur l’occasion. Pour nous empĂȘcher de partir, l’hĂŽtel a proposĂ© une augmentation, soit passer de Rs 315 à
 Rs 325. Nous avons choisi de partir. Je dois avouer qu’à cette Ă©poque, je ne maĂźtrisais pas l’anglais. A part yes, no’ qu’on utilisait mĂȘme de travers
Heureusement que j’avais un copain, Jimmy Tegally qui, lui connaissait un peu l’anglais et il me servait d’interprĂšte. Il m’aidait beaucoup lors de la signature du contrat. En Afrique du Sud, nous avions fait des ravages avec l’orchestre Hot Sounds of Mauritius. Un journal a mĂȘme Ă©crit un jour que nous Ă©tions l’un des meilleurs orchestres du Southern Sun, le groupe hĂŽtelier. Ensuite, nous avons eu la chance de faire deux albums avec Columbia Broadcasting System. C’est lĂ  qu’on a eu Anita my love et Lullaby, entre autres. On avait Ă©crit sur l’album Hot Sounds of Mauritius and sega music. A cette Ă©poque, l’apartheid battait son plein en Afrique du Sud. Comment avez-vous vĂ©cu cela ? Il faut dire que les gens qui venaient nous voir Ă  l’hĂŽtel n’étaient pas des gens de couleur. Ils y Ă©taient interdits. En mĂȘme temps, il y avait beaucoup de tensions Ă  Johannesburg. C’était chaud. Un jour, alors que notre anglais commençait Ă  se dĂ©velopper, nous avons fait savoir au directeur de l’hĂŽtel que nous venions d’un pays multiracial et multiculturel et que nous n’étions pas trĂšs Ă  l’aise dans ce systĂšme. C’est lĂ  que les gens de couleur ont Ă©tĂ© aussi autorisĂ©s Ă  venir assister aux spectacles. En revanche, on nous a fait un mauvais coup dans le dos. Alors que la grĂšve Ă©clatait et qu’on devait quitter le pays en vitesse, le directeur est venu avec un nouveau contrat et m’a demandĂ© de signer. Dans la prĂ©cipitation, je n’avais pas remarquĂ© que c’était un engagement pour 14 ans
 Ce n’est qu’une fois rentrĂ© Ă  Maurice qu’on s’est rendu compte de cela. Evidemment, on a refusĂ© et on s’est retrouvĂ© face Ă  un Breach of Contract. On a perdu beaucoup d’argent. Vous avez fait le choix de ne pas reprendre le rythme traditionnel du sĂ©ga Ă  l’époque. Pourquoi ? Je voulais montrer une autre facette de la musique mauricienne. J’ai optĂ© pour la fusion. En mĂȘme temps, j’avais travaillĂ© Ă  l’hĂŽtel et j’avais vu comment le sĂ©ga Ă©tait exploitĂ©. Il fallait faire plaisir aux touristes, il fallait que les danseuses lĂšvent leurs jupes le plus haut possible
 Je ne voulais pas m’associer Ă  tout cela. A l’époque de Ti-Frer, les danseuses avaient trois ou quatre doublures sous leur jupe. Mais tout cela avait disparu pour satisfaire les yeux des touristes. En mĂȘme temps, j’avais aussi mes propres influences musicales. J’étais influencĂ© par la musique latine que j’ai voulu incorporer Ă  mon style. Et je pense avoir fait le bon choix. Voyez tout le succĂšs que j’ai eu avec Anita my love. Je ne critique personne, mais personnellement je suis fier de mon choix. Je ne renie pas mes origines, d’ailleurs, partout oĂč je vais chanter, j’apporte mon quadricolore mauricien. Quand on voit la place qu’occupe la fusion dans la musique mauricienne aujourd’hui, on peut dire que vous Ă©tiez en avance
 Je dois dire que j’ai eu beaucoup de critiques Ă  l’époque. Puis, un jour, un journaliste a Ă©crit que ceux qui critiquent Mario Armel, doivent le réécouter aprĂšs 20 ans. Ce qui veut dire qu’en quelque sorte, j’étais en avance, oui. En parlant de fusion, j’ai entendu des jeunes qui ont fait de belles choses, mais il y en a aussi d’autres qui me font vraiment honte. J’ai vu un morceau sur You Tube, qui ne contient que trois mots, sans compter toute la vulgaritĂ© qui va avec
 Et tenez-vous bien, cette chanson a rĂ©coltĂ© 50 000 views ! OĂč allons-nous ? Venant d’une famille musicale, mes oreilles ne peuvent tolĂ©rer de telles choses. Vous avez aussi Ă©tĂ© frappĂ© par la censure, avec le morceau Kari Poson. Cela vous a-t-il marquĂ© ? Il y a eu deux morceaux qui avaient créé un scandale en fait. D’abord, il y avait Fam Kanay. Il y a un journaliste qui avait rapportĂ© que j’avais dit dans la chanson fam ras pli kaka lor later’ alors que c’était fla fla’. Du coup, non seulement la chanson Ă©tait interdite Ă  la radio, mais les femmes s’en prenaient Ă  moi en public et me menaçaient avec leurs parasols. Je me suis expliquĂ© avec le journaliste et il a reconnu ses erreurs, mais la balle Ă©tait dĂ©jĂ  partie. Ensuite, il y a eu effectivement le fameux Kari Poson. Dans un premier temps, ce n’était pas moi qu’on avait attaquĂ©. C’était Roger Clency qui l’avait repris. Ensuite, quand j’ai enregistrĂ© la chanson plus tard, j’ai connu le mĂȘme sort, Ă  cause des sensibilitĂ©s culturelles, alors que je n’avais rien dit de mal. Je me souviens que lorsque je me suis rendu Ă  la MBC pour prĂ©senter mon disque, Ă  peine Pamela Patten avait lancĂ© la chanson, elle reçut un appel, l’intimant de l’arrĂȘter tout de suite, faute de quoi elle perdait sa place. Mais quelques annĂ©es plus tard, alors que j’étais en CĂŽte d’Ivoire, j’ai dĂ©cidĂ© de refaire le morceau et de changer les paroles, afin de ne pas blesser les susceptibilitĂ©s. Et cela a donnĂ© le rĂ©sultat qu’on connaĂźt. Tout cela ce sont des expĂ©riences et on apprend. Selon vous, pourquoi le sĂ©ga mauricien n’a pu s’imposer Ă  l’international ? Pour que les gens adoptent une musique, il faut qu’ils puissent danser dessus. Quand nous avons fait notre album en 1974, nous avions mĂȘme expliquĂ© comment danser le sĂ©ga dans un livret. Voyez la lambada par exemple, cela a marchĂ© parce qu’il y avait une danse, certes sexy, mais pas vulgaire, qui allait avec. Et puis, il faut dire qu’à Maurice, pour rĂ©ussir, il faut toujours avoir de l’argent. Il fut un temps oĂč les gens allaient donner leurs disques pour passer Ă  la radio, avec une enveloppe en dessous, pour soudoyer l’animateur et avoir la chance d’ĂȘtre programmĂ©. J’espĂšre que ce n’est plus le cas aujourd’hui. AprĂšs 60 ans de carriĂšre, vous voulez passer le flambeau ? J’ai dit Ă  tous mes enfants de ne pas faire de la musique leur mĂ©tier, mais ils l’ont fait quand mĂȘme. De mĂȘme, j’ai toujours cherchĂ© Ă  promouvoir de jeunes talents. Je prĂ©pare actuellement un album pour mes 60 ans de chansons et je chante en duo avec plusieurs jeunes chanteurs. C’est mon fils Ilario qui produit l’album. Par contre, nous ne savons pas encore si cela va sortir sous forme de CD ou en streaming, nous rĂ©flĂ©chissons encore. Si tout se passe bien, nous allons aussi proposer un concert. Ce sera une maniĂšre de cĂ©lĂ©brer mon anniversaire et en mĂȘme temps, de passer le flambeau aux jeunes. Et si c’était Ă  refaire, vous opteriez pour la mĂȘme carriĂšre ? Oui et sans hĂ©sitation. La musique m’a apportĂ© tant de choses. MĂȘme si elle n’a pas fait de moi un homme riche, je suis un homme comblĂ©. MĂȘmevaccinĂ©, on reste vigilant : le vaccin contre la variole n’est efficace contre le monkeypox qu’à 85%, ce n’est donc pas un totem d’immunitĂ© absolue. Continuer de rĂ©duire le nombre de ses partenaires et rester vigilant Ă  l’apparition de symptĂŽmes restent de bonnes idĂ©es tant que la courbe des contaminations est ascendante. VĂ©rifiĂ© le 30 novembre 2020 - Direction de l'information lĂ©gale et administrative Premier ministreLe phishing ou hameçonnage est une forme d'escroquerie qui se dĂ©roule sur internet. Cela consiste Ă  rĂ©cupĂ©rer vos donnĂ©es personnelles par la tromperie, puis Ă  les utiliser de maniĂšre malveillante, par exemple pour faire des achats. Si vous recevez un mail d'un expĂ©diteur qui se fait passer pour un organisme officiel ou familier banque, impĂŽts, Caf titleContent et qui veut avoir accĂšs Ă  vos donnĂ©es personnelles sur internet, vous devez recevez un mail qui semble provenir d'un site familier ou d'organisme officiel banque, impĂŽt, caf, ameli.Ce mail est volontairement alarmiste. Il peut s'agir par exemple d'un compte bientĂŽt expirĂ©, d'un colis reçu ou d'un remboursement que vous devez ĂȘtes invitĂ© Ă  cliquer sur une page pour renseigner vos donnĂ©es personnelles. Ces donnĂ©es seront ensuite rĂ©cupĂ©rĂ©es par l'auteur du phishing ou hameçonnage qui les utilisera pour effectuer des achats ou des opĂ©rations administration ou sociĂ©tĂ© ne demande vos donnĂ©es bancaires ou votre mot de ne faut pas rĂ©pondre au mail ni cliquer sur le lien contenu dans le un logiciel anti-spamÊtre vigilant si vous recevez un mail qui vous demande une action urgenteEntrer manuellement l'adresse URL du site dans le navigateurPhishing hameçonnage ou filoutageDirection gĂ©nĂ©rale de la concurrence, de la consommation et de la rĂ©pression des fraudes DGCCRFCette page vous a-t-elle Ă©tĂ© utile ?
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LaPlanĂšte des singes : l'affrontement est un film rĂ©alisĂ© par Matt Reeves avec Andy Serkis, Jason Clarke. Synopsis : Une nation de plus en plus nombreuse de singes Ă©voluĂ©s, dirigĂ©e par Direttore Olivier Dacourt Durata 1 ora 30 minuti Sesso Documentario Lingua Francese 6 January 2019 29 membri Le racisme dans le football. Tous racontent, Ă  leur maniĂšre, ce qu’ils ont vĂ©cu, et confessent leur ressenti. Olivier Dacourt nous emmĂšne Ă©galement Ă  la rencontre d’entraĂźneurs, d’arbitres et de dirigeants ceux qui, sur le terrain ou en dehors, ont le pouvoir de faire changer les choses. Il se confronte enfin Ă  un supporter qui justifie le fait d’insulter des joueurs en raison de la couleur de leur peau. Film simili
Déçusje suis Rien de plus que le prĂ©cĂ©dent il ne se passe.Aucun intĂ©rĂȘt: Il n'y a ! de Dupre F. La suite du prĂ©quel du remake de la PlanĂšte des Singes, et si ça marche, on en fera un
l'essentiel AmenĂ© en AriĂšge par la traditionnelle vague des mutations du 1er aoĂ»t, le capitaine Kieran Zago a pris Ă  31 ans la tĂȘte de la compagnie de gendarmerie dĂ©partementale de Foix. Entretien. Le capitaine Kieran Zago a pris le 1er aoĂ»t les fonctions de commandant de la compagnie de gendarmerie dĂ©partementale de Foix. À 31 ans, il chapeaute ainsi les quatre brigades territoriales autonomes de La Bastide-de-SĂ©rou, Lavelanet, Tarascon et QuĂ©rigut, la communautĂ© de brigades d’Ax-les-Thermes, une brigade de recherche, ainsi qu’un Psig Sabre peloton de surveillance et d’intervention pour les interventions les plus dĂ©licates. Une centaine de militaires sont sous ses ordres. Quel a Ă©tĂ© votre parcours ? Je suis natif de Rouen, oĂč je suis restĂ© jusqu’à mes 18 ans. AprĂšs un bac scientifique, j’ai fait mes Ă©tudes Ă  Sciences-Po jusqu’en 2014, Ă  Aix oĂč j’ai Ă©galement obtenu un Master 2 en Affaires publiques. Je suis alors entrĂ© Ă  l’école des officiers de la gendarmerie, d’oĂč je suis sorti en 2016 avec en plus un MBA master of business administration en management de la sĂ©curitĂ©. De 2016 Ă  2019, j’ai commandĂ© la communautĂ© de brigades de Verneuil-sur-Avre, dans l’Eure. Promu capitaine en 2019, j’ai Ă©tĂ© mutĂ© Ă  Paris en tant qu’officier analyste du renseignement Ă  la Direction gĂ©nĂ©rale de la Gendarmerie nationale. Et depuis le 1er aoĂ»t, je suis affectĂ© au terme de trois annĂ©es comme commandant de compagnie et je dĂ©couvre pour la premiĂšre fois le territoire est votre rĂ©action Ă  cette dĂ©couverte ?C’est une heureuse dĂ©couverte. Je ne suis pas familier du paysage montagnard, si ce n’est en vacances et plutĂŽt dans les Alpes. Je suis vraiment subjuguĂ© par la beautĂ© des paysages et j’ai vraiment apprĂ©ciĂ© le premier accueil des AriĂ©geois, qui se dĂ©marquent par une humanitĂ© qui est trĂšs agrĂ©able. Je ne suis pas du tout aguerri aux sports de montagne – je suis plutĂŽt sports collectifs, fan de football et supporter du PSG depuis que je suis petit – mais je compte profiter de ma prĂ©sence ici pour essayer le canyoning et le sont vos objectifs ?Nous allons bien sĂ»r assurer la sĂ©curitĂ© publique de maniĂšre gĂ©nĂ©rale, c’est le fondement de notre mission. Il s’agit d’ĂȘtre une aide vĂ©ritable pour la population, d’ĂȘtre une force non seulement d’intervention, mais Ă©galement de conseil et de bienveillance pour les citoyens et les le plan opĂ©rationnel, nous avons un axe majeur sur la circonscription de la compagnie, la RN 20. Comme on l’a vu rĂ©cemment avec l’accident de Savignac-les-Ormeaux, c’est un axe qui peut s’avĂ©rer dangereux. Je prends le commandement avec un accident qui a fait six morts et j’ai conscience que mes hommes vont devoir assurer une prĂ©sence aussi bien pĂ©dagogique que rĂ©pressive sur la RN 20. Cet axe est aussi empruntĂ© par des trafiquants de marchandises qui se fournissent en Andorre. Nous allons Ɠuvrer pour endiguer ce est Ă©galement sur un territoire trĂšs vert, qui se distingue par un environnement exceptionnel. Aujourd’hui, nous sommes face Ă  une crise climatique et environnementale qui nous alerte. Les gestes du quotidien ne sont pas nĂ©gligeables dans cette lutte et la compagnie de Foix aura Ă©galement pour prioritĂ© de renforcer les liens avec les Ă©lus pour lutter contre les atteintes Ă  l’ et c’est dans la continuitĂ© des actions dĂ©jĂ  menĂ©es, nous voulons ĂȘtre vraiment une force d’assistance aux victimes, et je pense notamment aux victimes de violences intrafamiliales. Nous avons aujourd’hui des campagnes gouvernementales qui commencent Ă  porter leurs fruits, puisqu’il apparaĂźt que de plus en plus de victimes arrivent Ă  sortir du silence. Je ne conçois pas que mes militaires ne puissent pas ĂȘtre force d’écoute, de conseil et d’assistance aux ce sujet, on a pu reprocher Ă  la gendarmerie, par le passĂ©, de ne pas toujours savoir accueillir et accompagner ces victimes
La gendarmerie dispense des formations sur les violences intrafamiliales qui sont prĂ©parĂ©es en concertation avec des professionnels de ces problĂ©matiques. Nous avons justement des rĂ©fĂ©rents VIF violences intrafamiliales, ndlr en gendarmerie dĂ©partementale. Pour les victimes mineures notamment, il y a des formations et des rĂ©fĂ©rents "auditions MĂ©lanie" et j’en ai une Ă  Foix. C’est une formation trĂšs pointue pour pouvoir auditionner les mineurs victimes de violences ou de viol. La gendarmerie ne navigue pas Ă  vue sur ces problĂ©matiques qui sont plus que souhaitez-vous dire aux militaires sous vos ordres ?J’apprends Ă  connaĂźtre mes militaires. C’est un mĂ©tier trĂšs singulier, atypique, qui joue sur la santĂ©, la vie de famille, il faut vraiment avoir un sens de l’engagement particulier pour le choisir. J’ai toute confiance en leurs qualitĂ©s et en leur capacitĂ© Ă  accomplir leurs missions de maniĂšre exemplaire. Je suis fier de mes militaires et heureux de travailler avec eux.
LechĂąteau du XIXe siĂšcle sera bientĂŽt dĂ©moli. À sa place, un supermarchĂ© flambant neuf va ĂȘtre construit prĂ©cisĂ©ment sur son emplacement. Dans la petite commune de 6 000 habitants dans ï»żPartager la publication " Je ne suis pas un singe », un reportage Ă©loquent" FacebookTwitter Encore un trĂšs bon reportage d’Olivier Dacourt sur canal+, Je ne suis pas un singe ». Mais plusieurs choses sont Ă  relever, et notamment l’intervention de NoĂ«l Le GraĂ«t. AprĂšs Ma part d’ombre, Olivier Dacourt a donc remis cela avec un reportage sur le racisme dans le football. Evidemment, on n’a pas dĂ©couvert que cela existait, on le sait depuis longtemps. Mais cela valait le coup d’entendre les acteurs. On ne va pas revenir sur les cris de singe, ni sur ce supporter d’Hellas Verone qui dit qu’il a Ă©tudiĂ© et donc qu’il est fasciste par conviction et idĂ©ologie, c’est tellement triste
 En revanche, on peut comprendre le malaise de Balotelli et son comportement dĂ©calĂ©. Oui, l’italien d’origine ghanĂ©enne a dĂ» souffrir de maux d’une extrĂȘme violence. AjoutĂ© Ă  cela la notoriĂ©tĂ©, l’argent, les femmes, tout cela trĂšs jeune, et il n’y a pas Ă  chercher plus loin les explications Ă  ses problĂšmes de comportement. Le vrai problĂšme, ce sont les tĂ©moignages d’anciens joueurs ou de ceux en fin de parcours. Pourquoi, aujourd’hui, ils veulent que les noirs quittent les terrains, qu’ils s’unissent pour ne pas jouer ? Pourquoi demandent-ils aux autres, et avec force, de faire ce qu’ils n’ont jamais eu le courage de faire eux-mĂȘmes ? LĂ , on parle de racisme anti-noir avec des cris de singe, parce que c’est la partie la plus choquante, la plus honteuse. Dans le reportage, on parle Ă©galement des caricatures qui entourent le joueur noir avec sa puissance physique mais son manque d’intelligence. C’est marrant, quand j’ai parlĂ© de cela dans l’after, certains anciens pros ont tweetĂ© que je n’y connaissais rien. Mais finalement, le racisme existe dans le foot, que ça plaise ou non. Pour les joueurs noirs, on connaĂźt donc les raccourcis, n’est-ce pas M. Sagnol. Mais ça existe pour tous. Dire des maghrĂ©bins qu’ils sont douĂ©s techniquement mais ingĂ©rables, c’est quoi ? Dire des italiens que ce sont des tricheurs, c’est quoi ? Dire que si on veut recruter un joueur avec une mentalitĂ© de guerrier, il faut aller chercher en Argentine, c’est quoi ? Tous ces prĂ©jugĂ©s, ces caricatures sont monnaie courante dans le football. On ne les relĂšve pas parce qu’elles sont positives. Sauf, qu’en rĂ©alitĂ©, elles sont nĂ©gatives pour les autres. Il n’y aurait donc que les argentins qui auraient cette soif de combattre ? Est venue, ensuite, la partie oĂč on nous dit qu’il n’y a pas d’entraineurs maghrĂ©bins ou noirs au plus haut niveau. SĂ©rieux ?? Quel scoop !!! Le prĂ©sident niçois a mĂȘme dit qu’il avait pris Vieira sans s’occuper de son passĂ© de champion du monde. C’est une blague. Je ne lui fais aucun procĂšs d’intention car c’est un PrĂ©sident que je trouve compĂ©tent et intelligent. Mais Ă©videmment que si Vieira n’avait pas fait partie de France 98, il n’en serait pas, ne soyons pas naĂŻfs. Mais la cerise sur le gĂąteau est venue de M. NoĂ«l Le Graet. DĂ©jĂ , sa dĂ©claration sur le fait que Dacourt faisait un reportage bizarre » interroge. En quoi est-il bizarre ce reportage ? Mais alors quand il dit que les noirs et les arabes ne passent pas leurs diplĂŽmes, j’ai failli m’étouffer. Oui, M. Le GraĂ«t, les arabes et les noirs passent leurs diplĂŽmes, mais ils arrĂȘtent au niveau que vous tolĂ©rez, c’est Ă  dire avant le monde professionnel. Pour rappel, pour avoir accĂšs au graal !!! le BEPF, il y a dĂ©jĂ  un nombre de critĂšres Ă  remplir qui frise le ridicule. Mais mĂȘme quand vous les remplissez, il y a ensuite une sĂ©lection. Et oui, il y a une quinzaine de place seulement, donc il y a les anciennes stars, puis les copains, puis les fils de, puis les obligations d’un ou deux coachs qui ont fait monter leur Ă©quipe
 puis il y a les autres. Autant dire que pour cela, le dossier n’a mĂȘme pas Ă©tĂ© ouvert tellement ils arrivent loin aprĂšs tout le monde. Evidemment, le prĂ©sident de la FFF nous a sorti le fameux j’ai pris un noir, j’ai pris DiomĂšde ». DĂ©jĂ , il est champion du monde 98, mais c’est la phrase typique du je ne suis pas raciste, j’ai une amie encore plus noire qu’une arabe !!! »Nadine Morano. Et ce n’est pas une question de compĂ©tence. Allez voir le nombre de coachs arabes et noirs dans les divisions infĂ©rieures. Demandez Ă  MbappĂ©, Pogba, KantĂ©, Sakho qui Ă©taient leurs entraineurs dans leurs petits clubs de dĂ©part et grĂące Ă  qui ils sont devenus ce qu’ils sont aujourd’hui. La vĂ©ritĂ©, c’est que les coachs arabes et noirs, on en a besoin dans les petites catĂ©gories, oĂč Ă  des niveaux oĂč les joueurs ne sont pas professionnels, pour les gĂ©rer. En gros, entrainez dans le 93, c’st lĂ  qu’on a besoin de vous !!! AprĂšs, lĂ -haut, le niveau professionnel, les salaires plus Ă©levĂ©s, ce n’est pas pour ces gens-lĂ . Restez Ă  votre place, on vous a dĂ©jĂ  donnĂ© quelques diplĂŽmes, ne soyez pas trop gourmands. D’ailleurs, on a tellement ancrĂ© cela, cette hiĂ©rarchie, dans la tĂȘte des gens, que mĂȘme en Afrique, par exemple, on pense comme cela. Pourquoi Djamel Belmadi a pris Serge Romano comme adjoint, lui qui a Ă©chouĂ© partout oĂč il est passĂ© ? Pourquoi tout le monde a Ă©tĂ© surpris et impressionnĂ© par la coupe du monde du SĂ©nĂ©gal dirigĂ© par Aliou CissĂ© ? Quand on voit les joueurs qui composent l’équipe, ce n’est pas comme s’il avait rĂ©alisĂ© un miracle. On pourrait continuer longtemps comme cela Pourquoi Alain Giresse continue Ă  trouver du travail en Afrique, Pourquoi l’AlgĂ©rie fait appel Ă  autant d’entraineurs français de seconde zone etc
 Tout simplement parce qu’on a dĂ©crĂ©tĂ© que les arabes et les noirs Ă©taient de bons joueurs, mais pas assez intelligents, pas assez disciplinĂ©s pour diriger des Ă©quipes professionnelles. Et oui, paradoxalement, malgrĂ© la mixitĂ© dont il est peuplĂ©, et qu’on le veuille ou non, qu’on l’accepte ou non, il existe dans le football des prĂ©jugĂ©s, des idĂ©es racistes. Un cĂ©lĂšbre sĂ©lectionneur espagnol n’avait-il pas dĂ©clarĂ© que la France Ă©tait une Ă©quipe athlĂ©tique grĂące Ă  son immigration ? N’avait-il pas aussi dĂ©clarĂ©, en pleine sĂ©ance, Ă  un de ces joueurs montre au nĂšgre que tu es plus fort que lui », en parlant de Thierry Henry ? Aurait-il remplacĂ© le mot nĂšgre par blanc en parlant de Pirlo ? Se serait-il permis de dire le rital ? Bref
 Terminons quand mĂȘme par le plus ridicule avec la FIFA qui pense faire des actions efficaces avec ses fameux clips Say no to racism »  Sans commentaire. Partager la publication " Je ne suis pas un singe », un reportage Ă©loquent" FacebookTwitter 4HAb.
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